Lorsque l’abbé Cestac et les volontaires de Notre-Dame du Refuge s’installent sur ces terres en 1839, elles ne sont que dunes. Il leur faudra des années d’efforts avant de faire naître ces champs et forêts de pins, ou pignadas, que nous connaissons aujourd’hui.
Peu à peu le domaine devient le fleuron de l’agriculture locale, et leur fondateur un agronome renommé. Les cultures s’étendent, magnifiques, maïs, sorgho et fourrage balançant leurs larges feuilles. Les poules picorent en liberté sur les sables, répondant à l’appel de la cloche le soir venu. Et partout ces travailleuses vêtues de bleu, chapeaux de paille sur leurs cornettes blanches qui vaquent à leurs besogne dans un ordre parfait. En parallèle, la communauté dispense accueil, éducation et soins aux pauvres et aux orphelins, pour faire de cette maison un foyer.
Découvrez le site internet de la Congrégation des Servantes de Marie
« (…) un beau jardin potager est presque la moitié de la vie d’une famille à la campagne »
L’abbé Cestac dit « Le Bon Père”